Les doublures chauffantes pour gant de moto Ewool
C’est par un matin gris, froid et pluvieux que mes copines Cyndi et Caroline m’ont rejointe à la maison. Nous avions planifié une randonnée entre filles et il n’était pas question de modifier nos plans parce que Dame Nature se faisait capricieuse. Nous avions un grand besoin de décrocher, de rouler et de nous retrouver. La route nous appelait.
Cela tombait plutôt bien : c’étaient des conditions parfaites pour mettre à l’épreuve ma toute nouvelle paire de doublures chauffantes Ewool pour gants. Je possède déjà des gants chauffants d’une autre marque, mais je ne les porte que très rarement.
Mes gants régulier ne font pas le travail…
Je les trouve trop gros et encombrants, ce qui me fait perdre de la dextérité lors de la conduite. De plus, la chaleur n’est pas bien distribuée. C’est donc l’une des raisons pour laquelle je me suis laissé tenter par ce beau produit québécois. La doublure est mince, ce qui facilite le port de notre paire préférée de gants par-dessus la doublure.
Le tissu est doux et agréable, il n’y a pas de coutures à des endroits qui la rendraient inconfortable. Finalement, la doublure est longue, ce qui donne amplement d’espace pour les batteries ainsi que pour le bouton de mise en marche et de contrôle d’intensité de la chaleur.
Caroline est arrivée chez moi bien préparée au volant de sa toute nouvelle motocyclette. Cyndi, quant à elle, a décidé de se laisser conduire et de vivre l’expérience « side-car ». Je revêts mon équipement et mon ensemble de pluie. J’enfile mes doublures chauffantes et mes gants de moto en deuxième couche, puis j’appuie sur le bouton pendant trois secondes : le tour est joué.
À go, on part
J’entre les coordonnées de notre destination sur mon GPS; Cyndi nous a déniché un sympathique chalet dans les Laurentides. Notre point de départ étant en Montérégie, nous devions donc traverser l’île de Montréal en pleine heure de pointe et, de surcroît, sous la pluie. Je propose aux filles un itinéraire alternatif bien plus intéressant.
Celui-ci comporte de belles routes secondaires parsemées d’une succession de courbes ainsi que des paysages à couper le souffle; en prime, nous atteindrons la rive nord du Saint-Laurent à bord d’un traversier. Les filles acceptent sans hésiter.
J’enfourche donc ma monture, Cyndi prend place dans le side-car et Caro se positionne derrière nous. C’est avec beaucoup d’enthousiasme que nous commençons notre périple.
Nous empruntons le Chemin de la Montagne à Mont Saint-Hilaire, bordé de vergers et de maisons ancestrales : cette route offre un magnifique panorama sur Montréal lorsque le ciel est dégagé.
Hélas, ce n’est pas le cas aujourd’hui! Nous gagnons ensuite la rive du Richelieu. Le Chemin des Patriotes, route historique, nous mènera jusqu’à Sorel-Tracy.
Les débuts de saisons, ça n’est pas chaud…
Laissez-moi vous dire qu’il ne fait pas chaud lors de ce départ à 7 heures du matin. Pourtant, je ne ressens même pas le froid. J’avais réglé ma veste à haute intensité et mes doublures de gants à intensité moyenne. Mon habit de pluie me garde au sec et mon équipement chauffant coupe l’humidité.
C’est fantastique. Nous décidons de prendre une pause à St-Ours. Devant un bon café et une pâtisserie, nous faisons le point. Caro s’ajuste plutôt bien à son nouveau bolide, Cyndi adore l’expérience side-car et nous sommes déjà unanimes quant à la performance et à la pertinence de posséder une veste Ewool et une paire de doublures chauffantes pour gants Ewool.
Les produits répondent clairement à un besoin, tout spécialement chez nous avec notre climat diversifié. De plus, ils sont confortables, de qualité et conçus ici au Québec. Comme tout se passe pour le mieux malgré le froid et la pluie, on retourne à nos motos afin de reprendre la route.
En enfilant mes gants, je réalise que j’avais oublié de les éteindre, ils sont encore tout chauds. Bon, ce n’est qu’une erreur de débutante qui n’entraînera aucune répercussion importante. Je n’aurai qu’à les charger à mon prochain arrêt. Évidemment, l’autonomie des batteries est en fonction de l’utilisation et de l’intensité choisie.
À faible intensité, vous obtiendrez 7 heures de chaleur; à moyenne intensité, c’est plutôt 4 heures et, à l’intensité élevée, la durée est de 2,5 heures. Veuillez noter qu’il est possible de vous acheter des batteries supplémentaires si vous désirez éviter d’arrêter et de prendre le temps de vous brancher.
Il faut compter environ 1heure pour une charge complète. Le chargeur Ewool est en une seule pièce, c’est-à-dire que ce n’est pas un fil USB : donc, il faut une réelle prise de courant pour se brancher.
Pour la veste, il est possible de se procurer, pour un prix très raisonnable, un adaptateur de puissance 12 volts, si votre motocyclette ou votre motoneige sont équipées d’un port d’allumage, ou encore un fil de raccordement de puissance qui se branche directement sur la batterie de votre véhicule.
Nous arrivons à Sorel et prenons place sur le traversier. Le ciel est toujours couvert mais la pluie a cessé; nous avons également gagné quelques degrés. Je diminue l’intensité de chaleur de mes gants et de ma veste. La bonne humeur est au rendez-vous. On prend quelques clichés et on savoure le moment.
On gagne l’autre rive avec le plus grand sourire. On prend le temps pour un incontournable à Berthierville, le pont couvert Grandchamp; puis, à quelques minutes, nous faisons un autre arrêt, la fromagerie Domaine Féodal.
On se promet un festin à notre arrivée. La prochaine pause sera à Joliette, le temps d’un bon repas. Cette fois, je n’oublie pas d’éteindre mes doublures.
Enfin du soleil
Bien hydratées et le ventre plein, nous reprenons notre périple. Les nuages se dissipent peu à peu, le soleil tente de faire une percée. On se dirige vers Rawdon, Chertsey, puis l’Estérel. Il fait maintenant soleil : il n’est pas nécessaire de mettre en marche mes doublures.
Nous sommes éblouies par la beauté des paysages et nous éprouvons un réel plaisir à négocier les courbes qui s’offrent à nous. Nous remontons jusqu’à Ste-Lucie-des-Laurentides : il y a encore un peu de neige au sol dans les endroits boisés.
Il commence à se faire tard et j’ai envie d’un peu de douceur : alors, j’appuie sur mon bouton de mise en marche et, hop, mes mains sont de nouveau tout au chaud.
Nous gagnons Ste-Agathe-des-Monts juste avant la noirceur. Le chalet est parfait et douillet à souhait et que dire de son emplacement. On admire la vue sur le lac avant de rentrer nos bagages. On s’installe confortablement et c’est devant une délicieuse fondue qu’on revisite nos meilleurs moments de la journée, ils sont nombreux.
En conclusion, il n’y pas de mauvaise température lorsque nous sommes bien préparées et mes doublures chauffantes Ewool ont su faire toute la différence. Elles feront dorénavant partie de tous mes voyages.
